La e-cig, une industrie à plusieurs milliards d’euros

Dans un premier temps, les cigarettes électroniques sont une nouveauté – quelque chose d’un fanfaron dans un bar pourrait gonfler à contester la politique de non-fumeurs établie, émerveillé les spectateurs avec le fait que la fumée qui se dégage de l’appareil était en phase vapeur simplement inoffensif.
cigarette électronique

Maintenant, les e-cigarettes sont sur le point d’être une industrie d’un milliard de dollars, selon que la solution à apporter chez les fumeurs de sortir du froid, à la fois littéralement et métaphoriquement, comme des e-cigarettes promettent de lever la stigmatisation des fumeurs et sont de plus en plus autorisés à installations intérieures où fumer est interdit.

Ainsi, sont sûrs e-cigarettes ? Eh bien, ils ne sont pas très bien pour vous, disent les médecins. Ce qui est débattu est la mesure dans laquelle ils sont moins dangereux que les cigarettes traditionnelles.

1940 revisité

E-cigarettes sont des dispositifs à piles, souvent en forme de cigarettes traditionnelles, avec un élément chauffant qui vaporise une solution de nicotine liquide, qui doit être remplacé tous les quelques centaines de bouffées. La nicotine est inhalée dans les poumons, et une grande partie de la vapeur d’eau sans odeur qui sort de l’appareil. Soufflant une e-cigarette est appelé vaping. [ Vaping: Comment E-cig travail (Infographie) ]

Pourtant, la duplicité de l’industrie est clair pour les experts médicaux: E-cigarettes sont commercialisés pour les fumeurs comme un moyen de les sevrer du tabac (même si les études montrent qu’ils ne nous aide pas beaucoup ), et pourtant les mêmes dispositifs, certains avec des saveurs fruitées, sont commercialisés pour les jeunes qui ne fument pas, ce qui pourrait les amener accroché.

Accroché? Oui, les cigarettes électroniques sont un système nicotine-livraison, très addictif et finalement néfaste en raison de leur dose de nicotine.

Cancer et experts respiratoires voient le même stratagème se joue aujourd’hui avec e-cigarettes comme on l’a fait dans les années 1940 avec des cigarettes, quand l’Amérique a commencé à fumer en masse. Ils sont souvent distribués gratuitement et campèrent par des célébrités et même les médecins aussi cool, libératrice et sûr.

Dans une publicité pour un produit appelé eCigs blu, célébrité Jenny McCarthy, tristement célèbre pour encourager les parents à ne pas vacciner leurs enfants, encourage les jeunes adultes à VAPE, l’enrôlement des mots tels que «liberté» et la promesse de sexe. Dans une autre annonce, pour V2 Cigs, un médecin nommé Matthew Huebner – qui est présenté sans affiliation mais est associé à un centre Cleveland Clinic à Weston, Floride – implique que vaping est aussi inoffensif que l’eau bouillante.

Quant à la notion de e-cig comme libérateur, le coût de la valeur de cartouches de nicotine e-cigarette d’une année est d’environ 600 $, comparativement à $ 1,000 par an pour un demi-paquet par jour de cigarettes régulières.
Infographie: Les cigarettes électroniques se vaporisent un liquide aromatisé à la nicotine produire de la fumée ressemblant à vapeur.
E-cig vaporiser un liquide aromatisé plutôt que la combustion du tabac. Voir infographie complète
Crédit: par Karl Tate, Infographies Artiste
Voir l’image en taille réelle

Quant à savoir si ils sont en sécurité, c’est une question de comparer les avantages d’une dépendance à une autre.

E-cigarettes pas un patch

On pourrait penser que vaping doit être plus sûr que de fumer des cigarettes réel. Les experts disent qu’ils sont probablement plus sûr, mais plus sûr ne signifie pas sans danger.

« Cigarettes ont leur profil de risque, » a déclaré le Dr Frank Leone, un expert pulmonaire à l’Université de Pennsylvanie Medical Center à Philadelphie. Et presque tout le monde qui respire comprend les risques: maladie circulatoire et les cancers innombrables, pour commencer. «E-cigarettes pourraient être mieux par rapport à ce profil. Mais cela ne signifie pas qu’ils n’ont pas leur propre profil de risque. »

Une préoccupation majeure est le taux de délivrance de la nicotine, Leone dit. Avec des timbres de nicotine et la gomme, la livraison de la nicotine est réglementé, avec de petites quantités de nicotine libérés lentement dans le sang. Mais avec les cigarettes traditionnelles et maintenant e-cigarettes, la chaleur crée une forme de base libre de nicotine qui est plus addictif – ou ce que les fumeurs appeler plus satisfaisant. La nicotine va droit dans les poumons, où il est rapidement canalisée dans le cœur, puis pompée dans le cerveau.

Une fois accro, le corps fera l’envie de nicotine. Et bien que la nicotine n’est pas la toxine la plus dangereuse dans l’arsenal de tabac, ce produit chimique est néanmoins un agent favorisant le cancer, et est associée à des malformations congénitales et des troubles du développement.

Une étude publiée en 2006 dans la revue Obstetrics and Gynecology, par exemple, constaté que les femmes qui ont mâché de la gomme à la nicotine pendant la grossesse ont un risque plus élevé de malformations congénitales par rapport à d’autres non-fumeurs.

Grandes inconnues

Cette grande inconnue de possibles effets négatifs sur la santé, ainsi que l’absence de réglementation des e-cigarettes, fait peur experts comme Leone. Les produits sont dépourvus de mises en garde sanitaires. Combien de femmes enceintes seront VAPE la suite de la promotion de McCarthy?

Comme pour leurs mérites dans le sevrage tabagique, les e-cigarettes ne semblent pas très utiles. Une étude publiée le mois dernier dans la revue Addictive Behaviors constaté que la plupart des fumeurs qui les utilisent alors qu’ils tentaient de quitter soit devenu accro à vaping, ou revenue à fumer des cigarettes . Une étude publiée le 16 novembre dans la revue The Lancet n’a trouvé aucune différence statistiquement significative dans le fond de la e-cigarette sur le timbre de nicotine en termes d’aider les gens à arrêter.

Leone a déclaré que les e-cigarettes ne pourraient pas aider les gens à cesser de fumer parce que le dispositif conserve toxicomanes dans un état d’ambivalence – l’illusion de faire quelque chose de positif pour atténuer la culpabilité qui vient de fumer, mais tout en conservant le rituel de la cigarette.

La Jenny McCarthy blu eCigs annonce allusion à cette notion, avec des phrases telles que «smarter alternative à la cigarette », « sans la culpabilité» et «maintenant que je suis passé … Je me sens mieux dans ma peau ».

Les éditeurs de la revue The Lancet appelés promotion de l’e-cigarette « un dilemme moral » en raison de ce potentiel pour remplacer les cigarettes nocives avec quelque chose de légèrement moins nocifs mais tout aussi addictif. D’autres chercheurs conviennent que les e-cigarettes peuvent aider certaines personnes à cesser de fumer, mais à un niveau de population, la conversion des millions de fumeurs en vapers encore dépendantes de la nicotine pourraient ne pas aboutir à la propre, plus vert et plus sain sous-entendus par les fabricants d’e-cigarette.

Et puis il y a la question de ne pas savoir ce qui est dans la cartouche de nicotine e-cigarette.

« C’est une chose incroyable à regarder un nouveau produit comme ça juste genre de comparaître, il n’y a pas de contrôle de qualité, » a déclaré le Dr Richard Hurt, directeur du Centre de dépendance à la nicotine de la Mayo Clinic à Rochester, Minnesota « Beaucoup d’entre eux sont fabriqués en Chine sous aucune condition de contrôle, si l’histoire n’est pas encore totalement dit « .

Les auteurs de l’étude du Lancet, tous basés en Nouvelle-Zélande, a appelé les pays à réglementer la fabrication et la vente de cigarettes électroniques. La US Food and Drug Administration, qui n’approuve pas les e-cigarettes à des fins thérapeutiques, a déclaré qu’il envisage de proposer un règlement pour étendre la définition de «produit du tabac» en vertu de la Loi sur le tabac pour gagner plus de pouvoir de réglementer les produits tels que les e -cigarettes.

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