Cette semaine marque le 50e anniversaire du rapport de la première Surgeon General sur le tabagisme et la santé – une occasion de reconnaître à la fois le chemin que nous avons parcouru et le chemin que nous avons encore à faire dans la lutte pour mettre fin à la maladie liée au tabac et à la mort. Depuis 1964, d’importantes réformes de politique intérieure ont contribué à réduire l’usage du tabac dans ce pays, surtout pour les jeunes. Dans l’année de la publication de ce rapport, le Congrès a adopté la loi sur la publicité de 1965 Étiquetage de cigarettes et – la première loi fédérale aux États-Unis d’exiger des avertissements sanitaires sur les paquets de cigarettes. À la suite des préoccupations soulevées au sujet de la fumée secondaire dans le rapport de 1972, le Connecticut est devenu le premier État à adopter une loi pour appliquer l’interdiction de fumer dans les restaurants.
Peut-être l’avancée la plus importante dans la politique publique fédérale liée à répondre à la menace du tabac provenait de la famille fumeurs Loi sur le tabac et la prévention. La Loi sur le tabac a éliminé la capacité des fabricants de cigarettes de la publicité pour les enfants, à faire des allégations santé sans fondement au sujet de leurs produits, et de minimiser les risques de la vie en danger de cigarettes par des avertissements inadéquats.
Cependant, la promesse de la Loi sur le tabac est restée largement insatisfaite, de nouveaux produits du tabac menacent de fournir de nouvelles passerelles à la dépendance à la nicotine et le tabagisme chez les jeunes en Amérique. Une réglementation efficace de cigarettes a entraîné moins de jeunes de commencer à fumer des cigarettes, mais le marché très réglementé pour les autres produits du tabac aux saveurs qui plaisent aux enfants comme la vanille, le raisin, et chewing-gum, a conduit à une augmentation de la popularité des autres produits comme les cigares , narguilé et le tabac sans fumée.
Les nouvelles menaces ne s’arrêtent pas avec des produits à base de tabac. Les nouvelles technologies et de nouvelles stratégies de marketing ont créé un marché en plein essor pour les e-cigarettes. Les Centers for Disease Control and Prevention a récemment trouvé des taux alarmants d’utilisation e-cigarette chez les élèves de collèges et lycées. La popularité et les préoccupations de santé croissants liés à l’e-cigarette ont conduit à certaines grandes villes, comme Chicago, compte tenu des lois qui régiraient e-cigarettes à la façon dont la ville réglemente actuellement les cigarettes conventionnelles. Cette proposition a été accueillie avec l’opposition de ceux qui rejettent les e-cigarettes comme des produits qui présentent peu ou pas de risque. Ils prétendent e-cigarettes sont un excellent moyen pour les fumeurs à cesser de fumer sans exposer passants innocents à la vapeur dangereux.
Ce qu’ils ne vous disent pas, c’est l’impact que les e-cigarettes ont sur les personnes qui n’ont jamais fumé avant. Entre 2010 et 2011, le nombre d’adultes américains qui ont essayé les cigarettes électroniques a doublé. De 2011 à 2012, le pourcentage d’élèves du secondaire qui ont déjà utilisé des e-cigarettes a plus que doublé, passant de 4,7 pour cent à 10 pour cent. Plus de 20 pour cent des élèves du secondaire qui ont déclaré utiliser les e-cigarettes ont dit qu’ils n’avaient jamais essayé les cigarettes traditionnelles. Malgré l’augmentation de la popularité, la vérité est que nous ne savons pas vraiment ce qui est de ces produits et l’impact à long terme qu’elles auront sur les personnes – jeunes et vieux – qui ramassent l’habitude et devenir accro potentiellement .
Une analyse de 2009 par la Food and Drug Administration (FDA) a constaté d’importants problèmes de contrôle de qualité avec e-cigarettes. Ils ont découvert les substances cancérogènes et toxiques dans certains cas, une variation de la dose de nicotine par inhalation chez les autres, et la présence de nicotine dans les produits qui réclamaient d’être exempt de nicotine. Cette analyse soulève des préoccupations légitimes au sujet des risques pour la santé de l’e-cigarette pour les utilisateurs et les passants qui inhalent la vapeur. Malgré cette cause évidente de préoccupation, jusqu’à ce que la FDA commence réglementation de ces produits, les entreprises e-cigarettes ne seront pas tenus pour responsables de ce qui est dans leur produit, les revendications qu’ils font et l’impact qu’elle a sur les non-fumeurs.
Si ces entreprises veulent commercialiser leurs produits comme une alternative sûre à la cigarette, ils doivent être soumis à un examen rigoureux de la FDA. Surveillance et de réglementation sont le seul moyen de connaître la vraie nature de ces produits et la seule façon de s’assurer que les jeunes d’aujourd’hui ne sont pas soumis aux mêmes pratiques trompeuses qui étaient soi-disant des reliques du passé.